Le Comité judiciaire du Sénat tient aujourd’hui une audience sur la réforme de l’éthique de la Cour suprême après une série de rapports documentant divers enchevêtrements financiers entre des juges de droite et des personnalités puissantes du monde conservateur.
Le président du pouvoir judiciaire du Sénat, Dick Durbin (D-IL), a été un peu moins rapide que l’éclair pour tenter de traiter la question de manière substantielle ou d’en tirer un profit politique. Mais aujourd’hui, c’est un petit pas dans cette direction.
Durbin a invité le juge en chef John Roberts – ou un juge de son choix – à témoigner. Robert a refusé.
Les témoins:
- Jeremy Fogel : directeur exécutif, Berkeley Judicial Institute et ancien juge de district américain pour le district nord de Californie
- Kedric Payne : Vice-président, avocat général et directeur principal de l’éthique, Campaign Legal Center
- Amanda Frost : John A. Ewald Jr. Professeur de recherche en droit, faculté de droit de l’Université de Virginie
- Michael B.Mukasey : ancien procureur général des États-Unis et ancien juge de district américain pour le district sud de New York
- Thomas H. Dupree, Jr. : associé et coprésident du groupe d’appel et de droit constitutionnel, Gibson, Dunn & Crutcher
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Le Comité judiciaire du Sénat tient aujourd’hui une audience sur la réforme de l’éthique de la Cour suprême après une série de rapports documentant divers enchevêtrements financiers entre des juges de droite et des personnalités puissantes du monde conservateur.
Le président du pouvoir judiciaire du Sénat, Dick Durbin (D-IL), a été un peu moins rapide que l’éclair pour tenter de traiter la question de manière substantielle ou d’en tirer un profit politique. Mais aujourd’hui, c’est un petit pas dans cette direction.
Durbin a invité le juge en chef John Roberts – ou un juge de son choix – à témoigner. Robert a refusé.